Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois, -
Or, la loi est intervenue pour que l'offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé,
Le mot Ébal est mentionné pour la première fois dans le Pentateuque, plus précisément dans le livre de Deutéronome. Au fait, ce passage nous montre clairement le rôle qu’avaient joué les montagnes de Garizim et d’Ébal sur l’engagement que devrait prendre le peuple d’Israël sur l’observance de la loi divine. Un engagement d’appartenance, de fidélité et de reconnaissance au Très-Haut qui l’a merveilleusement soutenu afin de prendre possession de la terre de Canaan.
Ces deux monts étaient situés « de l’autre côté du Jourdain, derrière le chemin de l’occident, au pays des Cananéens qui habitent dans la plaine vis-à-vis de Guilgal, près des chênes de Moré » (Deutéronome 11 : 29-30). En outre, ces éminences jumelles étaient séparées par la vallée fertile et serrée de Sichem.
Conformément aux instructions que l’Éternel avait données à Moïse, les enfants d’Israël avaient l’obligation de prononcer la bénédiction sur la montagne de Garizim et la malédiction sur la montagne d’Ébal. Après la conquête de la ville d’Aï, juste avant de prendre possession de la terre promise, Josué avait mis en exécution ces ordres selon ce qui est écrit dans le livre de la loi. Il a élevé sur le mont Ébal un autel de pierres brutes à Élohim-Yahvé sur lesquelles on ne porta point le fer (Josué 8 : 30-35).
Les six tribus de Ruben, Gad, Aser, Zabulon, Dan, et Nephthali se sont tenus comme prévu sur le mont Ébal suivant la volonté de l’Éternel exprimée par Moise afin de déclarer la malédiction contre ceux qui perpétraient de délits graves au sein du peuple conduit par la main toute puissante de Yahvé (Deutéronome 27 : 13-26 ; Josué 8 : 33).
Comme l’apôtre Paul l’a dit dans son épitre aux Romains : « or la loi est intervenue pour que l’offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » ; les enfants d’Israël sous la loi de Moise étaient enfermés dans la malédiction, car ils n’arrivaient pas à obéir aux commandements de Dieu (Romains 5 : 20).
Les offrandes et les sacrifices pour les péchés qu’on présentait à l’Éternel n’étaient pas à même de désinsérer le péché du monde. Sous l’Ancienne Alliance, il était pratiquement impossible que « le sang de taureaux et des boucs ôte les péchés ». L’inefficacité avérée des holocaustes et de sacrifices à effacer le péché du monde commis sous la loi a eu comme effet l’abolition ou la caducité de la « première chose pour établir la seconde ».
En réponse à l’« inutilité » de l’Ancienne Alliance, la grâce a donc surabondé avec la venue de Jésus-Christ, la Parole faite chair (Matthieu 5 : 17, Romains 5 : 20, Jean 1 : 1-17). Le fils de Dieu a pris conséquemment un corps pour s’offrir en sacrifice une fois pour toutes afin d’arracher l’humanité de la vanité du péché et de la mort.
Il est devenu malédiction pour notre salut ; il a satisfait parfaitement la volonté du Très-Haut par son sacrifice (Galates 3 : 13). C’est pourquoi quiconque croira en lui en s’éloignant de la souillure vivra pleinement et glorieusement sous la grâce. Puisque le Seigneur Jésus-Christ nous a rachetés de l’iniquité par son sang versé à la croix, nous devrions marcher en toute pureté en produisant des œuvres qui magnifient son saint nom.
Les rebelles qui continuent à commettre, en ce temps de la fin, des crimes abominables fortement désapprouvés sur le mont Ébal (voir la vidéo) doivent se repentir et venir à Christ pour le pardon de leurs péchés. N’entendez pas demain, car ça peut être trop tard. Ne remettez pas au lendemain ce que vous devriez faire maintenant. Ainsi, le Saint-Esprit changera vos cœurs et vous vous conduirez en véritables enfants de Dieu, au nom de Jésus.
Le Seigneur Jésus est très proche.
Tony Kunsende-TKM
PRIÈRE DU SALUT (ACCEPTATION DE JÉSUS COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR)
Si tu n'as pas encore reçu Jésus-Christ de Nazareth, ressuscité des morts comme Seigneur et Sauveur de ta vie, tu dois dire avec foi cette prière devant Dieu : Père Céleste, je viens à Toi a...
https://tkm-edu.net/priere-du-salut-acceptation-de-jesus-comme-seigneur-et-sauveur/
Centre commercial, politique et religieux de l’Asie occidentale, était située près de l’embouchure du Caystre, sur la mer Égée. Pline écrit que dans l’Antiquité, « la mer avait l’habitude de monter jusqu’au temple de Diane ». Cependant, le port naturel et l’ensemble de la zone ont été progressivement ensablés et aujourd’hui, les ruines de la ville reposent dans une basse plaine, à environ 7 kilomètres, à l’intérieur des terres.
À l’instar des autres cités de l’antiquité, Éphèse était une ville profondément religieuse. Elle adorait surtout Diane (L’Artémis des Grecs), la déesse de la fertilité en Asie. On construit en son honneur, et sur ce même site, trois sanctuaires (le premier aux environs de la fin du huitième siècle avant notre ère) et deux autres splendides temples.
Le premier de ceux-ci fut commencé vers 550 avant Jésus-Christ, inauguré en 430, puis incendié en 356, la nuit même où naquit Alexandre le Grand. Il fallut plus de trente ans pour ériger le second temple. Les femmes d’Éphèse vendirent leurs bijoux pour aider au financement de la construction.
Des rois offrirent des colonnes, et des dons en or, ainsi que des meubles de toutes sortes affluèrent de nombreux pays. Lorsque la construction fut achevée, en 323 avant Jésus-Christ, il représentait le plus bel édifice jamais érigé dans tout le monde grec, et fut salué comme étant l’une des sept merveilles du monde antique.
Une richesse immense s’y accumula, grâce aux dons et aux legs. Sa célébrité avait sa source dans l’image de Diane, qu’il abritait. On raconta aux esprits faibles que cette image était descendue du ciel (Actes 19 : 35).
Paul travailla dans la ville pendant trois ans. Il put ainsi poser les fondations de la plus solide église chrétienne du premier siècle. Son ministère y fut si efficace « qu’un assez grand nombre de ceux qui avaient pratiqué la sorcellerie apportèrent leurs livres et les brulèrent devant tous » (Actes 19.19).
Le culte de Diane diminua jusqu’à ce que Démétrius, un orfèvre, suscite une émeute contre Paul (Actes 19.24, 38). Timothée et Jean y continuèrent l’œuvre, ainsi que dans les six autres églises de la région. La progression du christianisme coïncida avec le déclin du culte de Diane.
La Bible Thompson
Si les méchants croissent comme l'herbe, Si tous ceux qui font le mal fleurissent, C'est pour être anéantis à jamais.
Craignez pour vous le glaive : les châtiments par le glaive sont terribles. Et sachez qu’il y a un jugement.
Le procès de Nuremberg intenté par les puissances alliées contre 24 des principaux responsables du Troisième Reich, accusés de complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité, se tient du au et constitue la première mise en œuvre d'une juridiction pénale internationale.
Sur la base de différentes négociations intervenues entre les Alliés, ce procès se déroule sous la juridiction du Tribunal militaire international siégeant à Nuremberg, alors en zone d'occupation américaine. Le tribunal siège en exécution de l'accord de Londres signé le par les gouvernements des États-Unis d'Amérique, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, de l'Union des républiques socialistes soviétiques et par le gouvernement provisoire de la République française, afin de juger les dirigeants du Troisième Reich. Quatre chefs d'accusation sont invoqués : complot, crimes contre la paix, crimes de guerre, et crimes contre l'humanité, ce dernier point étant une notion partiellement nouvelle.
Le choix des accusés est contraint par l'absence de plusieurs hauts responsables nazis, qui par leur mort ou leur fuite échappent à la mise en accusation. Mis sous le feu des projecteurs par la présence de la presse internationale, le cours du procès est plusieurs fois perturbé par des tensions créées par les avocats des accusés ou les procureurs, voire par l'un des juges. Mais malgré ces difficultés et autres incompatibilités de point de vue qui se manifestent également lors des délibérations, le procès se déroule de manière assez calme, voire lente pour de nombreux observateurs.
Il aboutit à la condamnation à mort par pendaison de douze condamnés : Martin Bormann (par contumace), Hans Frank, Wilhelm Frick, Hermann Göring (qui se suicide juste avant l'exécution de la sentence), Alfred Jodl, Ernst Kaltenbrunner, Wilhelm Keitel, Joachim von Ribbentrop, Alfred Rosenberg, Fritz Sauckel, Arthur Seyß-Inquart et Julius Streicher. Des peines de prison allant jusqu'à la perpétuité sont prononcées contre Karl Dönitz, Walther Funk, Rudolf Hess, Konstantin von Neurath, Erich Raeder, Baldur von Schirach et Albert Speer. Enfin, Hans Fritzsche, Franz von Papen et Hjalmar Schacht sont acquittés.
D'autres procès concernant les faits découverts durant ces audiences ont eu lieu. Suivant cet exemple, une cour similaire, le Tribunal militaire international pour l'Extrême-Orient, est réunie pour juger des crimes commis sur le front du Pacifique. De nombreuses critiques ont été faites qui pointent des problèmes quant à la forme et au fond de la procédure choisie.
Le procès de Nuremberg a permis de poser certaines des règles reprises ensuite par les tenants d'une justice internationale et reste dans l’Histoire comme la première mise en application de la condamnation pour crime contre l'humanité.
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Beware of Greeks bearing gifts. Dessin basé sur une peinture à l'huile d'Henri-Paul Motte(XIXe siècle).
Énorme cheval de bois aux flancs creux construit par les Grecs pour s'introduire dans Troie pendant le siège. Imaginé par Ulysse, le cheval fut fabriqué par Épéios, maître charpentier et pugiliste. Feignant de renoncer à la guerre, les Grecs allèrent à l'île voisine de Ténédos, laissant derrière eux Sinon qui persuada les Troyens que le cheval était une offrande à Athéna et que sa possession rendrait Troie imprenable.
En dépit des avertissements de Laocoon et de Cassandre, les Troyens firent entrer le cheval dans leurs murs. La nuit suivante, des guerriers en sortirent et ouvrirent les portes de la cité à l'armée grecque qui était revenue entre-temps. Cette histoire est développée dans le livre II de L'Énéide, et L'Odyssée y fait allusion. Aujourd'hui, l'expression « cheval de Troie » désigne une subversion introduite de l'extérieur.
Louis Segond, né le 3 mai 1810 à Plainpalais et mort le 18 juin 1885 à Genève, est un pasteur protestant et théologien. Il traduit entre 1874 et 1880 la Bible en français à partir des versions en hébreux et grec, connue comme la Bible Segond.
Jeunesse et formation
Louis Segond naît à Plainpalais, commune devenue un quartier de Genève. Il est issu d'un milieu modeste. Son père, catholique d'origine française qui a servi dans l’armée napoléonienne, tient une échoppe de cordonnier dans la rue de la Croix-d'Or à Genève. Sa mère est genevoise et protestante, et les deux fils du couple sont baptisés dans l’Église reformée.
Après ses études secondaires achevées en 1826, il étudie les sciences naturelles et la médecine à l’Académie de Genève, puis la théologie à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg. Durant ses études, il remporte un concours organisé par la Compagnie des pasteurs de Genève sur le thème du dogme de l’immortalité de l’âme chez les Hébreux. En 1834, il soutient une thèse de baccalauréat en théologie avec une étude critique du Livre de Ruth et il prend un poste pastoral à Genève. En 1835 il présente une étude critique et exégétique du livre de l'Ecclésiaste pour sa thèse de licence de théologie et un travail en latin sur la représentation vétéro-testamentaire du Shéol, puis en 1836, il soutient une thèse de doctorat en théologie intitulée De la nature de l'inspiration chez les auteurs et dans les écrits du Nouveau Testament.
Carrière pastorale
En 1836, il fonde à Genève une société d’exégèse du Nouveau Testament qui subsiste jusqu’en 1841. Entre 1838 et 1840, il prépare des cours libres sur l’histoire de la langue hébraïque (1838) et sur l’interprétation de la Genèse (1839-1840). En 1840, il est nommé pasteur de la paroisse de Chêne-Bougeries, près de Genève, où il exerce son ministère durant vingt-quatre ans, tout en poursuivant des recherches sur la langue hébraïque et l’Ancien Testament. Il publie notamment, en 1841, le Traité élémentaire des accents hébreux, en 1856 la Géographie de la Terre sainte et en 1864 la Chrestomatie biblique qui est une ébauche d’une traduction complète de la Bible.
Traduction de l’Ancien Testament
En juillet 1864, il démissionne de ses fonctions paroissiales et se met à la disposition de la Compagnie des pasteurs de Genève qui souhaite une nouvelle traduction de l'Ancien Testament, à la fois fidèle aux textes originaux et exprimée dans une langue actuelle. Il signe avec la Compagnie des pasteurs de Genève une convention qui stipule que le travail de traduction de l'Ancien Testament sera établi en six ans et qu'à la fin de chaque année, il rendra compte de son avancement, tout en ayant le dernier mot dans l'éventualité de remarques de la Compagnie des pasteurs. Après avoir calculé le nombre de versets qu'il aura traduire chaque jour, Louis Segond se met au travail. Jamais il n'a pris de retard dans son programme. On rapporte qu'il pesait chaque mot de son texte, mais qu'une fois écrit, il se refusait à en changer le moindre détail. Sa traduction est achevée fin 1871, cependant, la publication avait été faite progressivement. La version intégrale est publiée en 1873 (avec la date de 1874) aux Éditions Cherbuliez.
Traduction du Nouveau Testament et Professorat
En 1872, Louis Segond est nommé professeur d’hébreu et d’exégèse de l’Ancien Testament à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg. Il entreprend, sur la base de l’édition critique de ConstantinTischendorf, la traduction du Nouveau Testament. L'évangile de Matthieu est publié en 1878, l'évangile de Jean en 1879 et enfin, l'intégralité du Nouveau Testament paraît en 1880 aux Éditions Cherbuliez.
Il se consacre ensuite à l'enseignement de l'hébreu biblique et de l’Ancien Testament à l’Académie de Genève. Il décède en 1885.
La première publication de sa traduction de l'Ancien Testament est datée de 1874 et celle du Nouveau Testament de 1880. Les deux seront publiées en un seul volume pour la première fois à Oxford en 1880. Cette traduction est usuellement appelée la Bible Segond. Elle deviendra pour un siècle la référence au sein du protestantisme français. Au XXIe siècle, elle est l'une des versions les plus populaires auprès des protestants et des chrétiens évangéliques francophones.
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Et Jésus leur dit: je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le Royaume de Dieu.
LES PUBLICAINS DANS LE NOUVEAU TESTAMENT
Et Jésus leur dit: je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le Royaume de Dieu (Matthieu 21:31).
Publicain : Dans l’empire romain était un personnage préposé à la perception des impôts et des droits de passage sur les marchandises que l’on transportait d’un territoire à l’autre.
Le fermier en chef exigeait des contribuables des sommes supérieures à celles qu’il versait au trésor public. L’État Romain l’y autorisait. Aucune loi ne protégeait les contribuables contre les exactions. Excepté quelques personnages honnêtes, les publicains volaient (Luc 3 : 12,13 ; 19.8).
Dans toutes les provinces,toutes les classes les détestaient, sauf peut-être les gouverneurs romains, qui souvent s’entendaient avec eux pour extorquer l’argent des contribuables. Le collecteur d’un territoire conquis par les Romains était parfois originaire de ce pays, auquel la plupart de péagers subalternes appartenaient.
Le juif Zachée parait avoir exercé les fonctions de percepteur-chef d’impôts à Jéricho (Luc 19 : 1-9). Le juif Matthieu (Levi), par contre, était chargé ,par le fermier général, de recueillir les taxes de Capernaum (Matthieu 9 :9; Marc 2 :14; Luc 5 : 27). Les juifs n’admettaient point que l’un de leurs fût agent des Romains et levât des impôts pour un gouvernement païen. Le publicain juif était exclu de la société de ses compatriotes ; ses amis subissaient le même sort. Les publicains étaient perçus comme des « collabos », des agents des occupants romains.
L’attitude du Seigneur Jésus avait bien choqué les juifs conformistes, car on l’accusait de manger avec des péagers et des pécheurs (Matthieu 9 : 10-13; 11.19). Cependant, le Seigneur Jésus a appelé Matthieu, qui était l’un d’eux, à l’apostolat (Matthieu 9.9).
Les cas de Zachée (Esaïe 55 : 6-7) qui cherchait à voir le Seigneur Jésus, et de Matthieu appelé pendant qu’il était assis au lieu des péages, enseignent aux pécheurs impénitents la nécessité de sceller, en Jésus-Christ, une réconciliation sincère et définitive avec l’Éternel, ainsi que les communautés auxquelles ils appartiennent (Luc 19 : 10).
Comme le Seigneur Jésus a appelé Matthieu à le suivre pendant qu’il vaquait à ses occupations, il vous lance, aujourd’hui, le même appel au salut et au service au cas où vous ne l’auriez pas encore fait. Je vous exhorte à faire de cet instant, un moment de nouveau départ dans la force incomparable de la grâce divine décrétée, à la croix, par le sang de notre Seigneur Jésus-Christ, le grand Vainqueur de la mort. Il vous fait, dans l’immédiat, la grâce de devenir son enfant, et d’avoir corollairement accès à Son royaume éternel et incorruptible.
Si vous répondez par l’affirmative à cet appel au salut et au service, je vous invite, par cette prière, à accepter et à confesser de votre bouche, avec foi, le Seigneur Jésus.
Au moyen de cette prière faite avec foi, accompagnée d'une promesse de restitution si votre cas s'apparente à celui de Zachée (le cas de Zachée, Luc 19 : 1-9), le Seigneur Jésus-Christ vous pardonnera et élira domicile dans votre vie pour en être le Seigneur et Sauveur.
NDB-TONY KUNSENDE
Quelques versets liés au contenu de cet article :
Matthieu 9 : 9-11
De là étant allé plus loin, Jésus vit un homme assis au lieu des péages, et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit: Suis-moi. Cet homme se leva, et le suivit. Comme Jésus était à table dans la maison, voici, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie vinrent se mettre à table avec lui et avec ses disciples. Les pharisiens virent cela, et ils dirent à ses disciples : pourquoi votre maitre mange-t-il avec les publicains et les gens de mauvaise vie?
Matthieu 11 : 18-19
Car Jean est venu, ne mangeant ni ne buvant, et ils disent: Il a un démon. Le Fils de l'homme est venu, mangeant et buvant, et ils disent: C'est un mangeur et un buveur, un ami des publicains et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par ses œuvres.
Luc 3 : 12-14
Il vint aussi des publicains pour être baptisés, et ils lui dirent: Maître, que devons-nous faire? Il leur répondit: N'exigez rien au-delà de ce qui vous a été ordonné. Des soldats aussi lui demandèrent: Et nous, que devons-nous faire? Il leur répondit: Ne commettez ni extorsion ni fraude envers personne, et contentez-vous de votre solde.
Luc 19 : 8-10
Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit: Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et, si j'ai fait tort de quelque chose à quelqu'un, je lui rends le quadruple. Jésus lui dit: Le salut est entré aujourd'hui dans cette maison, parce que celui-ci est aussi un fils d'Abraham. Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.
Hébreux 12 :1
Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte.
Esaïe 55 : 6-7
Cherchez l'Éternel pendant qu'il se trouve; Invoquez-le, tandis qu'il est près.
Matthieu 20 :16
Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.
Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, Et la pluie la couvre aussi de bénédictions.
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et Ton bâton me rassurent.
Baka; Baca; Baumier: est un arbuste résineux, portant le nom de Baka, ce qui selon certains auteurs, signifie dégoutter, ou verser des larmes; une sorte de baume découle de cet arbuste.
Le mot baka pourrait aussi être une substance signifiant les pleurs.
Vallée de Palestine (Psaume 84.7), tirant son nom des arbres résineux qui y croissaient; c’est peut-être la vallée des Rephaïm, car on y trouvait de tels arbres (2 Samuel 5 : 22,23); mais les versions grecque et syriaque tiennent ce terme pour une métaphore, analogue à l’expression « vallée de l’ombre de la mort ».
Baka signifie, alors n’importe quelle « vallée de larmes » ou « vallée de l’ombre de la mort ».
Cette brève et pertinente élucidation de la vallée de Baca nous exhorte, spirituellement parlant, en tant que chrétiens et disciples de Christ, à avoir toujours foi en Jésus-Christ (Hébreux 12 :2) quelle que soit l’ampleur de l’adversité ou l’antagonisme qui mettent en épreuve notre foi.
Au nom de notre Seigneur Jésus qui est avec nous, nous transformons toute « vallée de Baca » que nous traversons en un lieu plein de sources. Aucune « vallée », représentant les forces ténébreuses, ne peut nous empêcher d’avancer vers notre destinée glorieuse, car si Dieu est pour nous, personne ne sera contre nous (Romains 8 : 31).
Notre force augmente pendant la marche et nous allons nous présenter devant l’Éternel, Dieu des armées, notre Père Céleste, à Sion, au nom de Jésus (Psaume 84 : 8).
Prière :
Je transforme la vallée de Baca spirituel que je traverse en un lieu plein de sources, au nom de Jésus. Ma force augmente pendant que je marche. Nul ne pourra m’arrêter. Je broie les montagnes et les collines sur mon chemin, par la puissance du Saint-Esprit, au nom de Jésus. Je me présenterai devant Dieu à Sion.
NDB-TONY KUNSENDE
LA VALLÉE DE BACA TRANSFORMÉE EN UN LIEU PLEIN DE SOURCES
https://tkm-edu.net/2019/07/23/la-vallee-de-baca/ "Lorsqu'ils traversent la vallée de Baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, Et la pluie la couvre aussi de bénédictions." Psaume 84:
Pergame : Autrefois Pergumum, ou Pergamos fut la ville la plus importante de la Mysie, à 5 km au nord de la rivière Caïque, à environ 24 km de la mer Égée et à 96 kilomètres au nord de Smyrne.
Les Romains s’en emparèrent, et érigèrent le royaume en province d’Asie (129-126 av. J.-C), dont la capitale devint Pergame. Construite sur une hauteur de 335 mètres, cette citadelle devint, non seulement le centre de quatre cultes païens (Zeus, Athéna, Dionysos et Asclépios), mais surtout le siège du culte blasphématoire de l’empereur. Le Seigneur l’a nommé et reconnu comme étant le trône de Satan, l’endroit où demeure Satan. Antipas, chrétien fidèle, subit le martyre dans cette citadelle du paganisme (Apocalypse 1.11;2.12-17) où se trouvait la troisième des 7 Églises d’Asie à laquelle Jean s’adresse dans le livre d’Apocalypse (Apocalypse 2.13).
Le parchemin (grec ancien : pergamênê qui veut dire : peau de Pergame, devenu en français « parchemin ») tire son nom de cette ville, où il fut inventé. Pergame est la troisième des 7 Églises d’Asie. L’Apocalypse dit que là se retrouve le « trône de Satan ». Pergame s’appelle, à l’heure actuelle, Bergama (Turquie, province d’Izmir).
Selon le document vidéo sur l’Église de Pergame, le mot trône a d’abord été utilisé pour désigner un fauteuil d’une résidence personnelle privée, c’était le sens à l’origine du mot trône. Le fauteuil du maitre de lieu, maitre de maison.
Satan se sentait chez lui à Pergame, il y était assis sur un trône, c’était son territoire. Il était le maitre de cette maison. La ville possédait également un centre thérapeutique appelé l’Asclépiéion bâti à l’honneur du dieu serpent Asclépios. L’empereur faisait de voyages depuis Rome pour venir recevoir des soins à Pergame. Il ne s’agissait pas d’une visite médicale ordinaire.
Les habitants de Pergame adoraient une myriade de dieux grecs et romains. Lorsque le christianisme arriva avec sa croyance en un Dieu unique, les prêtres de temples devinrent très agressifs, et leur plus célèbre victime fut un homme du nom d’Antipas. Dans le livre d’Apocalypse, le Seigneur Jésus appela Antipas mon témoin fidèle.
Il était évêque de Pergame et y avait été ordonné par l’apôtre Jean. Sa foi en Jésus-Christ attira l’attention des prêtres d’Asclépiéion qui portèrent plainte auprès du gouverneur romain de Pergame. Les prêtres témoignèrent que les démons leur étaient apparus en rêve, leur disant que les prières d’Antipas les chassaient de la ville. Antipas avait chassé tant des démons que les démons et les esprits s’étaient plaints auprès des païens leur demandant de trouver une solution au sujet de cet Antipas. Il fut ordonné à Antipas d’offrir un sacrifice de vin et d’encens à une statue de l’empereur romain en déclarant que l’empereur était Seigneur et Dieu. Il refusa. Le rejet de la divinité de l’empereur signifiait le rejet la ville de Rome. Les croyants étaient mis à mort pour cette raison. Antipas fut condamné à mort sur l’autel de Zeus. Quelques années plus tard, l’apôtre Jean écrivit le livre de l’Apocalypse qui mentionne la mort d’Antipas à cet endroit.
Du point de vue archéologique, Pergame est l’un des sites archéologiques les plus fouillés du monde, principalement par les Allemands. Ils y ont travaillé depuis la fin du 19e siècle. À Pergame se trouvait le Grand Autel ou l’énorme autel de Zeus qui fut démonté et transporté à Berlin, où il se trouve toujours au musée « Pergamon ». Il y a aussi les restes d’autres temples d ’Athéna, de Trajan, de Dionysos et d’Esculape dont l’emblème était un serpent (salué par l’empereur Caracalla d’un salut à l’hitlérienne). Visionner la vidéo pour de plus amples détails .
NDB-TKM
Pergame - Documentaire | L'église de Pergame
PERSÉCUTION DE DÈCE
La persécution de Dèce(250) est une persécution brève et violente prenant place au iiie siècle dans l'Empire romain à l'encontre des religions rompant avec la paix des dieux et en particulier, le christianisme. Dans les communautés chrétiennes, elle posa le problème de la réintégration des lapsi qui avaient accepté de sacrifier aux dieux romains et l'accusation d'hérésie envers les mouvements tels que le novatianisme.
En 249, quand Dèce accède au fonctions impériales, il promulgue un programme de restauration politique et religieuse pour unifier tous les habitants de l'Empire autour de l'empereur et des dieux de Rome. L'Empire affronte en effet des difficultés importantes : menaces croissantes sur les frontières, crise de la légitimité impériale. Aussi, face à ces multiples crises, l'empereur Trajan Dèce manifeste le désir de mettre à mal les croyances qui s'opposent à la religiosité romaine traditionnelle et notamment le christianisme. Ce dernier peut en effet passer pour une rupture de la paix des dieux (pax deorum), garante de l'ordre universel et du pouvoir romain. Leur refus de sacrifier peut aussi passer comme une offense directe à l'empereur : en période de crise cela ne semble plus acceptable à un pouvoir impérial fragilisé. Lire la suite Ici
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pers%C3%A9cution_de_D%C3%A8ce
Dans l'Empire romain, les autorités ne font pas au début une différence très nette entre juifs et chrétiens, ces derniers n'étant qu'une secte juive parmi d'autres, jusqu'à ce qu'ils commencent à être accusés de troubles à l'ordre public. La persécution des chrétiens sous l'Empire romain dura jusqu'au IVe siècle, de manière plus ou moins importante. Avec la conversion de l'empereur romain Constantin et l'édit de Milan en 313, les persécutions contre les chrétiens s'arrêtèrent. Vers la fin du IVe siècle, le christianisme devint la religion officielle de l'Empire romain, remplaçant ainsi le culte romain antique et retournant la persécution. Cette date marque symboliquement le début de la chrétienté : période de l'histoire de l'Europe où le christianisme imprègne toute la société, y compris les lois et les comportements sociaux.
Cet article n’est qu’un rappel d’histoire sur la persécution des « chrétiens » sous l’Empire romain. Il n’est certainement pas un enseignement doctrinal sur le Seigneur Jésus-Christ et sa véritable Église.