Une vidéo de CGTN Français
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The World Bank created an insurance mechanism in 2017 to help some of the world’s poorest countries deal with a possible pandemic. The coronavirus outbreak could lead to its use for the first time – but there are doubts about how effective this tool would be.
The so-called “pandemic bonds” were created in response to the Ebola outbreak in Africa that killed more than 11,000 people between 2014 and 2016 – and the idea was to transfer some of the economic risks caused by disease outbreaks from under-developed countries to the financial sector.
They work in a similar way to insurance: as long as there is no pandemic, the buyers of these securities make money from high annual interest and premiums, but if an outbreak occurs, they must return all or part of their investment to a specific World Bank fund intended to fight pandemics. In this way, there would be no need for fraught political negotiations when states raise funds to respond to the crisis.
However, pandemic bonds have lost more than 50 percent of their value since the beginning of the coronavirus outbreak originating in the Chinese city of Wuhan.
‘Financial goofiness’
For NGOs and healthcare workers, the new coronavirus – which has infected nearly 80,000 people worldwide, including more than 2,600 fatally, represents a critical test for the viability of this very controversial insurance mechanism.
In April 2019, Larry Summers, the influential former chief economist at the World Bank and former treasury secretary under then US president Bill Clinton, described pandemic bonds as “financial goofiness” and an “embarrassing mistake”.
Olga Jones, a senior fellow at the Harvard Global Health Institute, a former economic advisor at the World Bank and among the most vocal critics of pandemic bonds, has argued that investors have been the only winners – describing them to the Financial Times as a “gamble with taxpayers’ money” at “terrible odds”.
The World Bank has issued two types of bonds. The first covers a wide range of potential pandemics – such as coronaviruses, Ebola, Crimean-Congo hemorrhagic fever and Rift Valley fever. It is considered riskier – and more lucrative – than the second pandemic bond because the conditions triggering reimbursement by investors are easier to meet. The second type covers only the influenza epidemic and potential hypotheses for what could happen with the coronavirus.
Read the rest here.
What the Coronavirus Outbreak Means for Pandemic Bonds ( Bloomberg Markets and Finance)
Et Jésus leur dit: je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le Royaume de Dieu.
LES PUBLICAINS DANS LE NOUVEAU TESTAMENT
Et Jésus leur dit: je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le Royaume de Dieu (Matthieu 21:31).
Publicain : Dans l’empire romain était un personnage préposé à la perception des impôts et des droits de passage sur les marchandises que l’on transportait d’un territoire à l’autre.
Le fermier en chef exigeait des contribuables des sommes supérieures à celles qu’il versait au trésor public. L’État Romain l’y autorisait. Aucune loi ne protégeait les contribuables contre les exactions. Excepté quelques personnages honnêtes, les publicains volaient (Luc 3 : 12,13 ; 19.8).
Dans toutes les provinces,toutes les classes les détestaient, sauf peut-être les gouverneurs romains, qui souvent s’entendaient avec eux pour extorquer l’argent des contribuables. Le collecteur d’un territoire conquis par les Romains était parfois originaire de ce pays, auquel la plupart de péagers subalternes appartenaient.
Le juif Zachée parait avoir exercé les fonctions de percepteur-chef d’impôts à Jéricho (Luc 19 : 1-9). Le juif Matthieu (Levi), par contre, était chargé ,par le fermier général, de recueillir les taxes de Capernaum (Matthieu 9 :9; Marc 2 :14; Luc 5 : 27). Les juifs n’admettaient point que l’un de leurs fût agent des Romains et levât des impôts pour un gouvernement païen. Le publicain juif était exclu de la société de ses compatriotes ; ses amis subissaient le même sort. Les publicains étaient perçus comme des « collabos », des agents des occupants romains.
L’attitude du Seigneur Jésus avait bien choqué les juifs conformistes, car on l’accusait de manger avec des péagers et des pécheurs (Matthieu 9 : 10-13; 11.19). Cependant, le Seigneur Jésus a appelé Matthieu, qui était l’un d’eux, à l’apostolat (Matthieu 9.9).
Les cas de Zachée (Esaïe 55 : 6-7) qui cherchait à voir le Seigneur Jésus, et de Matthieu appelé pendant qu’il était assis au lieu des péages, enseignent aux pécheurs impénitents la nécessité de sceller, en Jésus-Christ, une réconciliation sincère et définitive avec l’Éternel, ainsi que les communautés auxquelles ils appartiennent (Luc 19 : 10).
Comme le Seigneur Jésus a appelé Matthieu à le suivre pendant qu’il vaquait à ses occupations, il vous lance, aujourd’hui, le même appel au salut et au service au cas où vous ne l’auriez pas encore fait. Je vous exhorte à faire de cet instant, un moment de nouveau départ dans la force incomparable de la grâce divine décrétée, à la croix, par le sang de notre Seigneur Jésus-Christ, le grand Vainqueur de la mort. Il vous fait, dans l’immédiat, la grâce de devenir son enfant, et d’avoir corollairement accès à Son royaume éternel et incorruptible.
Si vous répondez par l’affirmative à cet appel au salut et au service, je vous invite, par cette prière, à accepter et à confesser de votre bouche, avec foi, le Seigneur Jésus.
Au moyen de cette prière faite avec foi, accompagnée d'une promesse de restitution si votre cas s'apparente à celui de Zachée (le cas de Zachée, Luc 19 : 1-9), le Seigneur Jésus-Christ vous pardonnera et élira domicile dans votre vie pour en être le Seigneur et Sauveur.
NDB-TONY KUNSENDE
Quelques versets liés au contenu de cet article :
Matthieu 9 : 9-11
De là étant allé plus loin, Jésus vit un homme assis au lieu des péages, et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit: Suis-moi. Cet homme se leva, et le suivit. Comme Jésus était à table dans la maison, voici, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie vinrent se mettre à table avec lui et avec ses disciples. Les pharisiens virent cela, et ils dirent à ses disciples : pourquoi votre maitre mange-t-il avec les publicains et les gens de mauvaise vie?
Matthieu 11 : 18-19
Car Jean est venu, ne mangeant ni ne buvant, et ils disent: Il a un démon. Le Fils de l'homme est venu, mangeant et buvant, et ils disent: C'est un mangeur et un buveur, un ami des publicains et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par ses œuvres.
Luc 3 : 12-14
Il vint aussi des publicains pour être baptisés, et ils lui dirent: Maître, que devons-nous faire? Il leur répondit: N'exigez rien au-delà de ce qui vous a été ordonné. Des soldats aussi lui demandèrent: Et nous, que devons-nous faire? Il leur répondit: Ne commettez ni extorsion ni fraude envers personne, et contentez-vous de votre solde.
Luc 19 : 8-10
Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit: Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et, si j'ai fait tort de quelque chose à quelqu'un, je lui rends le quadruple. Jésus lui dit: Le salut est entré aujourd'hui dans cette maison, parce que celui-ci est aussi un fils d'Abraham. Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.
Hébreux 12 :1
Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte.
Esaïe 55 : 6-7
Cherchez l'Éternel pendant qu'il se trouve; Invoquez-le, tandis qu'il est près.
Matthieu 20 :16
Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.
Et, parce que l'iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira.
Comme un lion rugissant et un ours affamé, Ainsi est le méchant qui domine sur un peuple pauvre.
Un prince sans intelligence multiplie les actes d'oppression, Mais celui qui est ennemi de la cupidité prolonge ses jours.
"Ce ne sont pas seulement les auteurs de violences qui sont responsables de leurs crimes, mais aussi ceux qui choisissent de détourner le regard", a affirmé le médecin congolais Denis Mukwege, après avoir reçu le prix Nobel de la paix à Oslo lundi.
"Bébés, filles, jeunes femmes, mères, grands-mères, et aussi les hommes et les garçons, violés de façon cruelle, souvent en public et en collectif, en insérant du plastique brûlant ou en introduisant des objets contondants dans leurs parties génitales." Le Congolais Denis Mukwege, qui a reçu le prix Nobel de la Paix lundi 10 décembre à Oslo, a interpellé la communauté internationale et réclamé la fin de l'impunité pour les auteurs de violences sexuelles en temps de guerre.
Le gynécologue de 63 ans recevait le prix aux côtés de l'Irakienne de 25 ans Nadia Murad , ex-esclave des jihadistes devenue porte-drapeau de sa minorité. La présidente du comité Nobel, Berit Reiss-Andersen, a salué "deux des voix les plus puissantes au monde aujourd'hui" contre l'oppression des femmes.
Surnommé "l'homme qui répare les femmes", le médecin soigne depuis deux décennies les victimes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi, dans l'est de la République démocratique du Congo (RD Congo), région déchirée par des violences chroniques.
"Ce ne sont pas seulement les auteurs de violences qui sont responsables de leurs crimes, mais aussi ceux qui choisissent de détourner le regard", a affirmé Denis Mukwege dans sa prise de parole de remerciement. "S'il faut faire la guerre, c'est la guerre contre l'indifférence qui ronge nos sociétés."
Denis Mukwege a aussi déploré que le sort de la population congolaise passe au second plan derrière l'exploitation sauvage des matières premières. "Mon pays est systématiquement pillé avec la complicité des gens qui prétendent être nos dirigeants", a-t-il affirmé. "Pillé aux dépens de millions d'hommes, de femmes et d'enfants innocents abandonnés dans une misère extrême, tandis que les bénéfices de nos minerais finissent sur les comptes opaques d'une oligarchie prédatrice." Dans des propos aux accents politiques à l'approche d'élections prévues le 23 décembre en RD Congo, ce critique du régime du président Joseph Kabila a dit voir "les conséquences déchirantes de la mauvaise gouvernance".
FRANCE 24-AFP
Les enfants bien nourris ont de meilleures chances d’être en bonne santé, de se développer et de s’instruire. Le monde entier tire des bénéfices d’une bonne nutrition. À l’inverse, la malnutrition est dévastatrice tant physiquement qu’intellectuellement, et représente une énorme charge pour les pays.
Les 1 000 premiers jours de la vie de l’enfant sont les plus déterminants car une mauvaise alimentation peut avoir des conséquences irréversibles sur sa croissance et sa santé : de la maladie à la mortalité infantile, en passant par le handicap.
Aujourd’hui dans le monde, 165 millions d’enfants de moins de 5 ans souffrent d’un retard de croissance. Les causes sont multiples : le manque d’alimentation, d’eau potable, de sanitaires, de soins médicaux et d’éducation, ainsi que la pauvreté.
Prévenir la malnutrition est notre priorité, y compris envers les femmes enceintes car il ne pourrait avoir plus grande injustice pour un enfant que de naitre avec un handicap physique.
Source: unicef.fr
Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.
Source: Le Monde
Then Jesus came to them and said, “All authority in heaven and on earth has been given to Me. Therefore go and make disciples of all nations, baptizing them in the name of the Father, and of the Son, and of the Holy Spirit, and teaching them to obey all that I have commanded you. And surely I am with you always, to the very end of the age.”
Then Jesus came to them and said, “All authority in heaven and on earth has been given to Me. Therefore go and make disciples of all nations, baptizing them in the name of the Father, and of the Son, and of the Holy Spirit, and teaching them to obey all that I have commanded you. And surely I am with you always, to the very end of the age.”