SALVATION PRAYER - Le blog de zionlight
SALVATION PRAYER If you do not know JESUS as you SAVIOR and LORD, say this salvation prayer out in faith, and Jesus will be your Savior and Lord! "Dear God, I come to You in the name of Jesus and I
SALVATION PRAYER - Le blog de zionlight
SALVATION PRAYER If you do not know JESUS as you SAVIOR and LORD, say this salvation prayer out in faith, and Jesus will be your Savior and Lord! "Dear God, I come to You in the name of Jesus and I
Louis Segond, né le 3 mai 1810 à Plainpalais et mort le 18 juin 1885 à Genève, est un pasteur protestant et théologien. Il traduit entre 1874 et 1880 la Bible en français à partir des versions en hébreux et grec, connue comme la Bible Segond.
Jeunesse et formation
Louis Segond naît à Plainpalais, commune devenue un quartier de Genève. Il est issu d'un milieu modeste. Son père, catholique d'origine française qui a servi dans l’armée napoléonienne, tient une échoppe de cordonnier dans la rue de la Croix-d'Or à Genève. Sa mère est genevoise et protestante, et les deux fils du couple sont baptisés dans l’Église reformée.
Après ses études secondaires achevées en 1826, il étudie les sciences naturelles et la médecine à l’Académie de Genève, puis la théologie à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg. Durant ses études, il remporte un concours organisé par la Compagnie des pasteurs de Genève sur le thème du dogme de l’immortalité de l’âme chez les Hébreux. En 1834, il soutient une thèse de baccalauréat en théologie avec une étude critique du Livre de Ruth et il prend un poste pastoral à Genève. En 1835 il présente une étude critique et exégétique du livre de l'Ecclésiaste pour sa thèse de licence de théologie et un travail en latin sur la représentation vétéro-testamentaire du Shéol, puis en 1836, il soutient une thèse de doctorat en théologie intitulée De la nature de l'inspiration chez les auteurs et dans les écrits du Nouveau Testament.
Carrière pastorale
En 1836, il fonde à Genève une société d’exégèse du Nouveau Testament qui subsiste jusqu’en 1841. Entre 1838 et 1840, il prépare des cours libres sur l’histoire de la langue hébraïque (1838) et sur l’interprétation de la Genèse (1839-1840). En 1840, il est nommé pasteur de la paroisse de Chêne-Bougeries, près de Genève, où il exerce son ministère durant vingt-quatre ans, tout en poursuivant des recherches sur la langue hébraïque et l’Ancien Testament. Il publie notamment, en 1841, le Traité élémentaire des accents hébreux, en 1856 la Géographie de la Terre sainte et en 1864 la Chrestomatie biblique qui est une ébauche d’une traduction complète de la Bible.
Traduction de l’Ancien Testament
En juillet 1864, il démissionne de ses fonctions paroissiales et se met à la disposition de la Compagnie des pasteurs de Genève qui souhaite une nouvelle traduction de l'Ancien Testament, à la fois fidèle aux textes originaux et exprimée dans une langue actuelle. Il signe avec la Compagnie des pasteurs de Genève une convention qui stipule que le travail de traduction de l'Ancien Testament sera établi en six ans et qu'à la fin de chaque année, il rendra compte de son avancement, tout en ayant le dernier mot dans l'éventualité de remarques de la Compagnie des pasteurs. Après avoir calculé le nombre de versets qu'il aura traduire chaque jour, Louis Segond se met au travail. Jamais il n'a pris de retard dans son programme. On rapporte qu'il pesait chaque mot de son texte, mais qu'une fois écrit, il se refusait à en changer le moindre détail. Sa traduction est achevée fin 1871, cependant, la publication avait été faite progressivement. La version intégrale est publiée en 1873 (avec la date de 1874) aux Éditions Cherbuliez.
Traduction du Nouveau Testament et Professorat
En 1872, Louis Segond est nommé professeur d’hébreu et d’exégèse de l’Ancien Testament à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg. Il entreprend, sur la base de l’édition critique de ConstantinTischendorf, la traduction du Nouveau Testament. L'évangile de Matthieu est publié en 1878, l'évangile de Jean en 1879 et enfin, l'intégralité du Nouveau Testament paraît en 1880 aux Éditions Cherbuliez.
Il se consacre ensuite à l'enseignement de l'hébreu biblique et de l’Ancien Testament à l’Académie de Genève. Il décède en 1885.
La première publication de sa traduction de l'Ancien Testament est datée de 1874 et celle du Nouveau Testament de 1880. Les deux seront publiées en un seul volume pour la première fois à Oxford en 1880. Cette traduction est usuellement appelée la Bible Segond. Elle deviendra pour un siècle la référence au sein du protestantisme français. Au XXIe siècle, elle est l'une des versions les plus populaires auprès des protestants et des chrétiens évangéliques francophones.
Wikipédia
Ouvre ta bouche pour le muet, pour la cause de tous les délaissés. Ouvre ta bouche, juge avec justice, Et défends le malheureux et l'indigent.
Paul Panda Farnana (de son nom complet Paul Panda Farnana M'fumu, né en 1888 à Nzemba, près de Banana, mort dans cette même localité le ) est un agronome et un nationaliste congolais.
De 1909 à 1911, Paul Panda Farnana, le célèbre fondateur de l’Union Congolaise à Bruxelles (« société de secours et de développement moral et intellectuel de la race congolaise ») et précurseur du mouvement africaniste, travailla pour l’État colonial au Jardin botanique d’Eala comme « chef de cultures de troisième classe ».
Le nom de ce premier agronome congolais a marqué l’histoire de la République démocratique du Congo à plusieurs titres : il fut le premier Congolais à avoir fait des études supérieures en Belgique et en France. Il a été surtout le premier nationaliste congolais dénonçant avec virulence les méthodes coloniales mises en place par les Belges. Il réclamait par exemple, la généralisation de l’enseignement laïc ainsi que l’accès des Congolais aux universités de la Métropole. Il plaidait également pour la participation de ses compatriotes au sein des instances décisionnelles de la colonie ainsi que pour l’africanisation des cadres.
Il fut, par ailleurs, militant actif du panafricanisme et collabora avec Paul Otlet (un des pères de l’Internet), Henri La Fontaine (collaborateur de Otlet et Prix Nobel de la paix en 1913), W.E.B. DuBois, et Blaise Diagne à l’organisation du Deuxième Congrès Panafricain, au Palais Mondial, à Bruxelles en septembre 1921. Il s’imprégna des idéaux internationalistes et pacifistes qui étaient ceux de Paul Otlet et Henri La Fontaine. Lire la suite ici.
Source : Wikipédia
Ouvre ta bouche pour le muet, pour la cause de tous les délaissés. Ouvre ta bouche, juge avec justice, Et défends le malheureux et l'indigent.
George Washington Williams, surnommé « Mundele Ndombe », soit littéralement en lingala le Blanc noir (
George Washington Williams a écrit « une lettre ouverte à sa Majesté sereine Léopold II, roi des Belges et souverain de l'État indépendant du Congo » (An Open Letter to His Serene Majesty Léopold II, King of the Belgians and Sovereign of the Independent State of Congo). Dans cette lettre, il condamne l'oppression coloniale que subissent les populations congolaises. Il mentionne aussi le rôle joué par Henry Morton Stanley, envoyé au Congo par le roi, en dupant et en maltraitant les Africains. Williams rappelle également au roi que tous les crimes commis l'étaient en son nom, le rendant ainsi aussi coupable des exactions. Il fait appel à la communauté internationale de l'époque et crée une « Commission internationale pour étudier les faits ci-dessus proférés au nom de l'humanité... ». George Washington Williams est mort en 1891 à Blackpool, en Angleterre, de tuberculose et de pleurésie.
Source : Wikipedia
Daniel, le prophète-homme d’État
On ne connait rien de sa famille, mais on pense généralement qu’il était d’origine noble (Dn1:3).
Il a été emmené en captivité à Babylone sous le règne de Yehoyaqim (1.2). En compagnie de trois de ses compagnons, qui, comme lui, possédaient des capacités particulières, il a été choisi pour suivre une formation, afin d’entrer au service du roi (1.3-4).
Il existe une grande ressemblance entre la vie de Daniel et celle de Joseph. Tous deux ont été emmenés captifs pendant leur jeunesse, étaient des exemples, et ont servi à la cour d’un roi. Tous deux ont été injustement persécutés, leurs difficultés ont été des tremplins qui les ont propulsés vers des honneurs, et c’est en interprétant des rêves qu’ils sont parvenus au pouvoir. Tous deux ont vécu dans la pureté, au sein des sociétés corrompues, et tous deux sont morts en une terre étrangère.
A l’instar de Moise, Daniel a été à la fois un homme d’État et un prophète. En tant que prophète, il a reçu une vision panoramique dont la portée dépasse celle des visions des autres prophètes. Ses visions l’ont porté au-delà de la venue de Christ et lui ont fait voir le Messie montant sur le trône, en tant que Roi des rois. Il est tout particulièrement le prophète des derniers jours.
La Bible Thompson
Statue of Nebuchadnezzar's dream-Daniel 2 ( Revelationtv)
Réformateur anglais, mort martyr, traducteur de la première Bible imprimée en anglais, William Tyndale (Tindal, Tindale) appartenait à une famille du pays de Galles, marquée par l'influence de Wyclif. Il étudie à Oxford puis à Cambridge où il se consacre principalement à l'apprentissage des langues bibliques ; se promettant que désormais « en Angleterre le jeune garçon qui pousse la charrue connaîtrait l'Écriture mieux que le pape », il entreprend une traduction anglaise du Nouveau Testament. Ne pouvant la publier en Angleterre, il s'embarque, en 1524, pour Hambourg et la fera imprimer en 1525 à Cologne, puis à Worms l'année suivante. Entre-temps, il rencontre Luther à Wittenberg et il se montre définitivement acquis aux idées de la Réforme. Réfugié aux Pays-Bas où il poursuit son œuvre de traduction, il fait figure de chef des premiers luthériens contre lesquels Henri VIII tente de mobiliser Érasme et auxquels s'en prend Thomas More dans un Dialogue concerning Tyndale (1528) et dans The Supplication of Souls (1529). À la réponse de Tyndale, Answer to Sir Thomas More's Dialogue (1530), More réplique à son tour par une Computation of Tyndale's Answer (1532). Cependant, les copies que Tyndale envoie en Angleterre de son Nouveau Testament sont interceptées par Tunstall, évêque de Londres, qui en fait ainsi brûler 18 000 environ. Entre-temps, Tyndale avait entrepris de traduire l'Ancien Testament ; il fit paraître le Pentateuque en 1530 et en 1531, après avoir publié deux ouvrages Parable of the Wicked Memmon (1528) et Obedience of a Christian Man (1528) qui posent les deux grands principes de la Réforme anglaise : ceux de l'autorité des Écritures et de la suprématie du roi dans l'État.
Mais Tyndale est arrêté à Anvers en 1535. Convaincu d'hérésie, il est emprisonné au château de Vilvorden, près de Bruxelles, et condamné au supplice. En octobre 1536, sur l'ordre de Charles Quint, il est saisi dans la cour du château et étranglé, puis l'on fait brûler son corps. Mais l'année suivante, une nouvelle confession de foi est publiée en Angleterre qui prescrit que chaque église aura désormais une Bible anglaise. Or, l'édition qui fut utilisée pour cette universelle diffusion fut préparée par Cranmer et par Miles Coverdale, un collaborateur de Tyndale, à partir de la version de ce dernier. Ainsi la Great Bible attachée à un pilier dans chaque église paroissiale fut-elle, selon le vœu de Tyndale, régulièrement lue aux fidèles de sorte que les enfants eux-mêmes se familiarisèrent avec elle, jusqu'à en apprendre par cœur de longs passages.
François BURDEAU