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On ne peut pas les rater: d’immenses fresques ont recouvert ces derniers jours les murs extérieurs de l’Académie des Beaux-Arts en plein coeur de Kinshasa, support populaire à des messages de prévention contre le coronavirus et le déni de la maladie.
A même le trottoir, des étudiants et jeunes artistes peaufinent leurs oeuvres typiques de la richesse des styles de l’école congolaise, tant prisée dans les galeries d’art contemporain depuis des expositions retentissantes (Africa Remix en 2005 et Kin Kitoko en 2015).
Dans la veine des maîtres de la peinture populaire congolaise (Chéri Samba, Moké), l’une de ces fresques représente une jeune femme masquée en train de se laver les mains, « gestes barrière » qui permettent évidemment de contenir le virus derrière les barreaux d’une prison, en second plan du tableau.
Amateur de culture urbaine, Chris Shongo a puisé dans le registre du graffiti pour styliser des messages en lingala, la langue de Kinshasa, à côté de motifs plus figuratifs (croix rouge sur un virus vert hérissé de pointes forcément agressives).
Sur un fond sombre et profond comme une nuit équatoriale, Prisca Tankwey disperse des statuettes sur une carte de l’Afrique. La jeune artiste s’inspire du rôle traditionnel de la statuaire africaine: convoquer les dieux, protéger les peuples.
Cet atelier en plein air se trouve sur « 24 », l’une des artères les plus fréquentées de la plus grande ville d’Afrique francophone (au moins dix millions d’habitants).
« Le but de cette campagne c’est de lutter contre la désinformation, montrer que la maladie est réelle, que le coronavirus existe réellement et que nous devons tous nous unir pour combattre cette pandémie », affirme le directeur de l’Académie des Beaux-Arts, l’artiste et professeur Henri Kalama Akulez.
« Beaucoup de personnes se demandent quelle est l’importance d’une école d’art dans un pays. C’est à des moments comme cela que nous démontrons que nous sommes là, et ce que nous pouvons faire pour notre pays », ajoute-t-il.
Connue à Kinshaa comme « l’Aca », l’école compte parmi ses anciens élèves bien des signatures de la peinture congolaise contemporaine, qui se sont souvent éloignés de son académisme par la suite, comme aujourd’hui la jeune Géraldine Tobé.
Hasard de la géographie urbaine, elle se trouve à deux pas d’un point de lavage des mains et de contrôle des températures, qui oblige les automobilistes à descendre de leur véhicule.
Ce point de contrôle sanitaire marque l’entrée et la sortie du premier épicentre de l’épidémie, la commune de la Gombe, isolée du reste de la ville depuis le 6 avril.
Depuis le premier cas déclaré le 10 mars, la RDC en a enregistré 5.477, dont 4.937 à Kinshasa. Il y a eu 122 décès.
Le déni de la maladie reste fort dans les quartiers populaires, malgré les messages de prévention qui tournent également en boucle à chaque appel en message d’attente diffusé par les opérateurs de téléphonie mobile. « Corona eza te » (il n’y a pas de corona) entend-on souvent dans les quartiers.
Le Dr Yi Fan et le Dr Hu Weifeng, tous deux âgés de 42 ans, ont attrapé le nouveau coronavirus alors qu'ils soignaient des patients à l'hôpital central de Wuhan, foyer de l'épidémie, en janvier dernier.
Ces médecins étaient de proches collaborateurs du lanceur d'alerte Li Wenliang, qui a été sanctionné par la Chine pour avoir sonné l'alarme de l'existence d'un virus très contagieux. Celui-ci en est d'ailleurs décédé le 7 février.
Egalement gravement atteints par le Covid-19, le Dr Yi Fan et le Dr Hu Weifeng ont été placés dans des comas artificiels et se sont réveillés il y a peu.
Des images aujourd'hui font le tour du monde: dans leur lit d'hôpital, les peaux des deux médecins sont visiblement plus sombres. Selon la chaîne de télévision, CGTN, la China Global Television Network, c'est parce qu'elles sont couvertes d'hématomes. C'est l'un des effets secondaires rencontrés parce que leurs foies respectifs ont été endommagés par le virus, ont déclaré les médecins aux médias officiels chinois.
S'adressant à l'agence chinoise CCTV depuis son lit d'hôpital, le Dr Yi a déclaré qu'il était rétabli. Il a dit qu'il pouvait se déplacer normalement dans son lit, mais qu'il avait encore du mal à marcher de façon autonome. Le Dr Yi a raconté que cette épreuve dans sa lutte contre la maladie mortelle l'avait, dans une certaine mesure, traumatisé. Il a raconté au journaliste présent: "Quand j'ai pris conscience de mon état, j'avais peur. J'ai souvent fait des cauchemars."
Il a dit qu'il avait progressivement surmonté cet obstacle psychologique grâce au soutien des médecins présents.
https://www.rtl.be/info/monde/international/deux-medecins-de-wuhan-gravement-atteints-par-le-covid-19-se-reveillent-de-leur-coma-avec-une-peau-plus-sombre-1213144.aspx
The World Bank created an insurance mechanism in 2017 to help some of the world’s poorest countries deal with a possible pandemic. The coronavirus outbreak could lead to its use for the first time – but there are doubts about how effective this tool would be.
The so-called “pandemic bonds” were created in response to the Ebola outbreak in Africa that killed more than 11,000 people between 2014 and 2016 – and the idea was to transfer some of the economic risks caused by disease outbreaks from under-developed countries to the financial sector.
They work in a similar way to insurance: as long as there is no pandemic, the buyers of these securities make money from high annual interest and premiums, but if an outbreak occurs, they must return all or part of their investment to a specific World Bank fund intended to fight pandemics. In this way, there would be no need for fraught political negotiations when states raise funds to respond to the crisis.
However, pandemic bonds have lost more than 50 percent of their value since the beginning of the coronavirus outbreak originating in the Chinese city of Wuhan.
‘Financial goofiness’
For NGOs and healthcare workers, the new coronavirus – which has infected nearly 80,000 people worldwide, including more than 2,600 fatally, represents a critical test for the viability of this very controversial insurance mechanism.
In April 2019, Larry Summers, the influential former chief economist at the World Bank and former treasury secretary under then US president Bill Clinton, described pandemic bonds as “financial goofiness” and an “embarrassing mistake”.
Olga Jones, a senior fellow at the Harvard Global Health Institute, a former economic advisor at the World Bank and among the most vocal critics of pandemic bonds, has argued that investors have been the only winners – describing them to the Financial Times as a “gamble with taxpayers’ money” at “terrible odds”.
The World Bank has issued two types of bonds. The first covers a wide range of potential pandemics – such as coronaviruses, Ebola, Crimean-Congo hemorrhagic fever and Rift Valley fever. It is considered riskier – and more lucrative – than the second pandemic bond because the conditions triggering reimbursement by investors are easier to meet. The second type covers only the influenza epidemic and potential hypotheses for what could happen with the coronavirus.
Read the rest here.
What the Coronavirus Outbreak Means for Pandemic Bonds ( Bloomberg Markets and Finance)
Cette prière ou le contenu de cette vidéo n’excluent pas les mesures sanitaires préconisées dans nos pays respectifs.
Le Seigneur Jésus-Christ est proche.
TKM
PRIÈRE DU SALUT (ACCEPTATION DE JÉSUS COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR)
Si tu n'as pas encore reçu Jésus-Christ de Nazareth, ressuscité des morts comme Seigneur et Sauveur de ta vie, tu dois dire avec foi cette prière devant Dieu : Père Céleste, je viens à Toi a...
https://tkm-edu.net/priere-du-salut-acceptation-de-jesus-comme-seigneur-et-sauveur/
Ce même jour, sur le soir, Jésus leur dit: Passons à l'autre bord. Après avoir renvoyé la foule, ils l'emmenèrent dans la barque où il se trouvait; il y avait aussi d'autres barques avec lui. Il s'éleva un grand tourbillon, et les flots se jetaient dans la barque, au point qu'elle se remplissait déjà.
Et lui, il dormait à la poupe sur le coussin. Ils le réveillèrent, et lui dirent: Maître, ne t'inquiètes-tu pas de ce que nous périssons? S'étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer: Silence! tais-toi! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. Puis il leur dit: Pourquoi avez-vous ainsi peur? Comment n'avez-vous point de foi?
Tes jours seront en sûreté; La sagesse et l'intelligence sont une source de salut; La crainte de l'Eternel, c'est là le trésor de Sion. Esaïe 33 : 6
Qu’est-ce qu’un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l’homme et chez l’animal. On sait que, chez l’être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Qu’est-ce que la COVID-19 ?
La COVID-19 est la maladie infectieuse causée par le dernier coronavirus qui a été découvert. Ce nouveau virus et cette maladie étaient inconnus avant l’apparition de la flambée à Wuhan (Chine) en décembre 2019.
Quels sont les symptômes de la COVID-19 ?
Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la fatigue et une toux sèche. Certains patients présentent des douleurs, une congestion nasale, un écoulement nasal, des maux de gorge ou une diarrhée. Ces symptômes sont généralement bénins et apparaissent de manière progressive. Certaines personnes, bien qu’infectées, ne présentent aucun symptôme et se sentent bien. La plupart (environ 80 %) des personnes guérissent sans avoir besoin de traitement particulier. Environ une personne sur six contractant la maladie présente des symptômes plus graves, notamment une dyspnée. Les personnes âgées et celles qui ont d’autres problèmes de santé (hypertension artérielle, problèmes cardiaques ou diabète) ont plus de risques de présenter des symptômes graves. Toute personne qui a de la fièvre, qui tousse et qui a des difficultés à respirer doit consulter un médecin.
Comment la COVID-19 se propage-t-elle ?
La COVID-19 est transmise par des personnes porteuses du virus. La maladie peut se transmettre d’une personne à l’autre par le biais de gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche lorsqu’une personne tousse ou éternue. Ces gouttelettes peuvent se retrouver sur des objets ou des surfaces autour de la personne en question. On peut alors contracter la COVID-19 si on touche ces objets ou ces surfaces et si on se touche ensuite les yeux, le nez ou la bouche. Il est également possible de contracter la COVID-19 en inhalant des gouttelettes d’une personne malade qui vient de tousser ou d’éternuer. C’est pourquoi il est important de se tenir à plus d’un mètre d’une personne malade.
L’OMS examine les travaux de recherche en cours sur la manière dont la COVID-19 se propage et elle continuera à communiquer les résultats actualisés.
Le virus responsable de la COVID-19 est-il transmissible par voie aérienne ?
Les études menées à ce jour semblent indiquer que le virus responsable de la COVID-19 est principalement transmissible par contact avec des gouttelettes respiratoires, plutôt que par voie aérienne. Voir la réponse à la question précédente, « Comment le COVID-19 se propage-t-elle ? »
Peut-on contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui ne présente aucun symptôme ?
La maladie se propage principalement par les gouttelettes respiratoires expulsées par les personnes qui toussent. Le risque de contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui ne présente aucun symptôme est très faible. Cependant, beaucoup de personnes atteintes ne présentent que des symptômes discrets. C’est particulièrement vrai aux premiers stades de la maladie. Il est donc possible de contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui n’a, par exemple, qu’une toux légère mais qui ne se sent pas malade. L’OMS examine les travaux de recherche en cours sur le délai de transmission de la COVID-19 et elle continuera à communiquer des résultats actualisés.
Puis-je contracter la COVID-19 par contact avec les matières fécales d’une personne malade ?
Le risque de contracter la COVID-19 par contact avec les matières fécales d’une personne infectée paraît faible. Les premières investigations semblent indiquer que le virus peut être présent dans les matières fécales dans certains cas, mais la flambée ne se propage pas principalement par cette voie. L’OMS examine les travaux de recherche en cours sur la manière dont la COVID-19 se propage et elle continuera à communiquer les nouveaux résultats. Cependant, comme le risque existe, c’est une raison supplémentaire de se laver les mains régulièrement, après être allé aux toilettes et avant de manger.
Comment puis-je me protéger et éviter que la maladie ne se propage ?
Mesures de protection pour tous
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l’OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales. Des cas de COVID-19 se sont produits dans de nombreux pays et plusieurs pays ont été touchés par des flambées. En Chine et dans certains autres pays, les autorités sont parvenues à ralentir ou à enrayer la progression de la flambée. Toutefois, l’évolution de la situation est imprévisible et vous devez donc vous tenir régulièrement informé.
Vous pouvez réduire le risque d’être infecté ou de propager la COVID-19 en prenant quelques précautions simples :
Pourquoi ? Se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon tue le virus s’il est présent sur vos mains.
Pourquoi ? Lorsqu’une personne tousse ou éternue, elle projette de petites gouttelettes qui peuvent contenir le virus. Si vous êtes trop près, vous pouvez inhaler ces gouttelettes et donc le virus responsable de la COVID-19 si la personne qui tousse en est porteuse.
Pourquoi ? Les mains sont en contact avec de nombreuses surfaces qui peuvent être contaminées par le virus. Si vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche, le virus peut pénétrer dans votre organisme et vous pouvez tomber malade.
Pourquoi ? Les gouttelettes respiratoires propagent des virus. En respectant les règles d’hygiène respiratoire, vous protégez les personnes autour de vous de virus tels que ceux responsables du rhume, de la grippe ou de la COVID-19.
Pourquoi ? Ce sont les autorités nationales et locales qui disposent des informations les plus récentes sur la situation dans la région où vous vous trouvez. Si vous l’appelez, votre médecin pourra vous orienter rapidement vers l’établissement de santé le plus adapté. En outre, cela vous protègera et évitera la propagation de virus et d’autres agents infectieux.
Pourquoi ? Le risque de contracter la COVID-19 est plus élevé dans ces régions.
Mesures de protection pour les personnes qui se trouvent ou qui se sont récemment rendues (au cours des 14 derniers jours) dans des régions où la COVID-19 se propage.
Pourquoi ? Éviter d’entrer en contact avec d’autres personnes et de se rendre dans des établissements de santé permettra à ces établissements de fonctionner plus efficacement et vous protègera, ainsi que les autres personnes, de la COVID-19 et d’autres maladies virales.
Pourquoi ? Si vous l’appelez, votre médecin pourra vous orienter rapidement vers l’établissement de santé le plus adapté. En outre, cela vous protègera et évitera la propagation de la COVID-19 et d’autres maladies virales.
Quelle est la probabilité de contracter la COVID-19 ?
Le risque dépend de l’endroit où vous habitez et, plus précisément, de la présence ou non d’une flambée.
Pour la plupart des gens, à la plupart des endroits, le risque de contracter la COVID-19 reste faible. Cependant, la propagation d’intensifie désormais dans certaines villes ou régions. Pour les personnes qui y habitent ou s’y rendent, le risque de contracter la COVID-19 est plus élevé. Les gouvernements et les autorités sanitaires prennent des mesures énergiques chaque fois qu’un nouveau cas de COVID-19 est identifié. Respectez les restrictions locales aux voyages, aux déplacements ou aux grands rassemblements. En participant à ces efforts de lutte contre la maladie, vous réduisez le risque de contracter ou de propager la COVID-19.
Les flambées de COVID-19 peuvent être endiguées et la transmission peut être enrayée, comme on l’a vu en Chine et dans certains autres pays. Malheureusement, de nouvelles flambées apparaissent rapidement. Il est important de connaître la situation là où vous êtes ou là où vous comptez aller. L’OMS publie quotidiennement des bulletins de situation. Vous pouvez les consulter à l’adresse https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/situation-reports/.
La COVID-19 doit-elle m’inquiéter ?
La COVID-19 est généralement bénigne, en particulier chez l’enfant et le jeune adulte, mais elle peut aussi être grave : 1 malade sur 5 doit être hospitalisé. Il est donc tout à fait normal de s’inquiéter des conséquences de la flambée de COVID-19 pour soi-même et pour ses proches.
Il est possible d’apaiser son inquiétude en prenant des mesures pour se protéger et protéger ses proches et son entourage. Tout d’abord, il faut se laver régulièrement et soigneusement les mains et respecter les règles d’hygiène respiratoire. Deuxièmement, il faut se tenir au courant de la situation et suivre les conseils des autorités sanitaires locales, notamment en ce qui concerne les restrictions aux voyages, aux déplacements et aux rassemblements. Pour plus d’informations sur les moyens de se protéger, consulter : https://www.who.int/fr/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/advice-for-public.
Qui risque d’être atteint d’une forme grave de la maladie ?
Même si nous devons encore approfondir nos connaissances sur la façon dont la COVID-19 affecte les individus, jusqu’à présent, les personnes âgées et les personnes déjà atteintes d’autres maladies (comme l’hypertension artérielle, les maladies pulmonaires, le cancer, le diabète ou les cardiopathies) semblent être gravement atteintes plus souvent que les autres.
Les antibiotiques sont-ils efficaces pour prévenir ou traiter la COVID-19 ?
Non, les antibiotiques n’agissent pas contre les virus, mais seulement contre les infections bactériennes. La COVID-19 étant due à un virus, les antibiotiques sont inefficaces. Ils ne doivent pas être utilisés comme moyen de prévention ou de traitement de la COVID-19. Ils doivent être utilisés seulement sur prescription médicale pour traiter une infection bactérienne.
Existe-t-il des médicaments ou des thérapies permettant de prévenir ou de guérir la COVID-19 ?
Certains remèdes occidentaux, traditionnels ou domestiques peuvent apporter du confort et soulager les symptômes de la COVID-19 mais rien ne prouve que les médicaments actuels permettent de prévenir ou de guérir la maladie. L’OMS ne recommande de prendre aucun médicament, y compris les antibiotiques, en automédication pour prévenir ou guérir la COVID-19. Cependant, plusieurs essais cliniques de médicaments occidentaux ou traditionnels sont en cours. L’OMS fournira des informations actualisées dès que les résultats des essais cliniques seront disponibles.
La COVID-19 est-elle la même maladie que le SRAS?
Non, le virus responsable de la COVID-19 et celui à l’origine du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) sont génétiquement liés mais ils sont différents. Le SRAS est plus mortel mais beaucoup moins infectieux que la COVID-19. Il n’y a pas eu de flambée de SRAS dans le monde depuis 2003.
Dois-je porter un masque pour me protéger ?
Il ne faut porter un masque que si on présente des symptômes de la COVID-19 (en particulier, la toux) ou si on s’occupe de quelqu’un susceptible d’être atteint de la maladie. Les masques jetables sont à usage unique. Si vous portez un masque alors que vous n’êtes pas malade ou que vous ne vous occupez pas de quelqu’un qui est malade, c’est du gaspillage. Comme il y a une pénurie mondiale de masques, l’OMS conseille de les utiliser avec parcimonie.
L’OMS recommande de faire un usage rationnel des masques médicaux afin d’éviter le gaspillage de ressources précieuses et l’utilisation abusive (voir Conseils relatifs au port du masque).
La meilleure façon de se protéger et de protéger les autres contre la COVID-19 est de se laver fréquemment les mains, de se couvrir la bouche avec le pli du coude ou avec un mouchoir et de se tenir à une distance d’au moins un mètre de toute personne qui tousse ou qui éternue. Pour plus d’informations, consulter les mesures de protection de base contre le nouveau coronavirus.
Comment mettre, utiliser, enlever et éliminer un masque ?
1. Ne pas oublier que seuls les agents de santé, les personnes qui s’occupent de malades et les personnes qui présentent des symptômes respiratoires (fièvre et toux) doivent porter un masque.
2. Avant de mettre un masque, se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon.
3. Vérifier que le masque n’est ni déchiré ni troué.
4. Orienter le masque dans le bon sens (bande métallique vers le haut).
5. Vérifier que la face colorée du masque est placée vers l’extérieur.
6. Placer le masque sur le visage. Pincer la bande métallique ou le bord dur du masque afin qu’il épouse la forme du nez.
7. Tirer le bas du masque pour recouvrir la bouche et le menton.
8. Après usage, retirer le masque, enlever les élastiques de derrière les oreilles tout en éloignant le masque du visage et des vêtements afin d’éviter de toucher des parties du masque éventuellement contaminées.
9. Jeter le masque dans une poubelle fermée immédiatement après usage.
10. Après avoir touché ou jeté le masque, se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon si elles sont visiblement souillées.
Combien de temps dure la période d’incubation de la COVID-19 ?
La période d’incubation est le temps qui s’écoule entre l’infection et l’apparition des symptômes de la maladie. On estime actuellement que la période d’incubation de la COIVD-19 dure de 1 à 14 jours et le plus souvent autour de cinq jours. Ces estimations seront actualisées à mesure que de nouvelles données seront disponibles.
Les êtres humains peuvent-ils contracter la COVID-19 à partir d’une source animale ?
Les coronavirus sont une grande famille de virus couramment présents chez les chauves-souris et chez d’autres animaux. Occasionnellement ces virus infectent des êtres humains qui peuvent à leur tour propager l’infection. Ainsi, le SARS-CoV est associé aux civettes tandis que le MERS-CoV est transmis par les dromadaires. Les sources animales éventuelles de la COVID-19 n’ont pas encore été confirmées.
Pour se protéger, par exemple lorsque l’on va sur des marchés d’animaux vivants, il faut éviter le contact direct avec les animaux et les surfaces en contact avec les animaux et toujours respecter les règles relatives à la sécurité sanitaire des aliments. Il faut manipuler la viande crue, le lait et les abats avec précaution pour éviter de contaminer les aliments qui ne sont pas destinés à être cuits et il faut s’abstenir de consommer des produits d’origine animale crus ou mal cuits.
Mon animal domestique peut-il me transmettre la COVID-19 ?
Il y a eu un cas d’infection chez un chien à Hong Kong mais, à ce jour, rien ne prouve que les animaux de compagnie, tels que les chiens ou les chats, peuvent transmettre la COVID-19. La maladie se transmet principalement par les gouttelettes expulsées par les personnes infectées quand elles toussent, éternuent ou parlent. Pour vous protéger, lavez-vous les mains fréquemment et soigneusement.
L’OMS continue à suivre les derniers travaux de recherche sur ce sujet et d’autres questions relatives à la COVID-19 et publiera des informations actualisées à mesure que de nouvelles données seront disponibles.
Combien de temps le virus peut-il survivre sur les surfaces ?
On ne sait pas avec certitude combien de temps le virus responsable de la COVID-19 survit sur les surfaces mais il semble qu’il se comporte comme les autres coronavirus. Les études (et les informations préliminaires sur la COVID-19) tendent à montrer que les coronavirus peuvent persister sur les surfaces quelques heures à plusieurs jours. Ceci peut dépendre de différents paramètres (p. ex. le type de surface, la température ou l’humidité ambiante).
Si vous pensez qu’une surface peut être infectée, nettoyez-la avec un désinfectant ordinaire pour tuer le virus, vous protéger et protéger les autres. Lavez-vous les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon. Évitez de vous toucher les yeux, la bouche ou le nez.
Est-il sans danger de recevoir un colis d’une région où la COVID-19 a été signalée ?
Oui. La probabilité qu’une personne infectée contamine des marchandises est faible, tout comme le risque de contracter le virus responsable de la COVID-19 par contact avec un colis qui a été déplacé, qui a voyagé et qui a été exposé à différentes conditions et températures.
Y a-t-il des choses à ne pas faire ?
Les mesures ci-après NE SONT PAS efficaces contre la COVID-19 et peuvent même être dangereuses :
En tout état de cause, en cas de fièvre, de toux et de dyspnée, consulter un médecin sans tarder afin de limiter le risque de voir l’infection s’aggraver et lui indiquer si vous avez effectué des voyages récemment.
Veuillez Cliquer ici pour plus d'informations.
Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant.
Je dis à l'Éternel: Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie!
Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages.
Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse.
Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour,
Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi.
Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint;
HOW TO PROTECT YOURSELF AGAINST COVID-19 (WHO)
Coronaviruses (CoV) are a large family of viruses that cause illness ranging from the common cold to more severe diseases such as Middle East Respiratory Syndrome (MERS-CoV) and Severe Acute Respiratory Syndrome (SARS-CoV). A novel coronavirus (nCoV) is a new strain that has not been previously identified in humans.
Coronaviruses are zoonotic, meaning they are transmitted between animals and people. Detailed investigations found that SARS-CoV was transmitted from civet cats to humans and MERS-CoV from dromedary camels to humans. Several known coronaviruses are circulating in animals that have not yet infected humans.
On 31 December 2019, the WHO China Country Office was informed of cases of pneumonia of unknown etiology (unknown cause) detected in Wuhan City, Hubei Province of China. A novel coronavirus (2019-nCoV) was identified as the causative virus by Chinese authorities on 7 January.
On 10 January, WHO published a range of interim guidance for all countries on how they can prepare for this virus, including how to monitor for sick people, test samples, treat patients, control infection in health centres, maintain the right supplies, and communicate with the public about this new virus.
Common signs of infection include respiratory symptoms, fever, cough, shortness of breath and breathing difficulties. In more severe cases, infection can cause pneumonia, severe acute respiratory syndrome, kidney failure and even death.
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SALVATION PRAYER - Le blog de zionlight
SALVATION PRAYER If you do not know JESUS as you SAVIOR and LORD, say this salvation prayer out in faith, and Jesus will be your Savior and Lord! "Dear God, I come to You in the name of Jesus and I